On revient sur l’édito : Mariés chacun de leur côté, leur histoire d’amour se termine au tribunal de Saint-Nazaire

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Voici le principal d’un éditorial que je viens de trouver sur le web. Le thème va immanquablement vous réjouir. Car le propos est « la justice ».

Son titre (Mariés chacun de leur côté, leur histoire d’amour se termine au tribunal de Saint-Nazaire) est évocateur.

Annoncé sous le nom «d’anonymat
», l’éditorialiste est connu et fiable pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur internet.

Vous pouvez prendre connaissance de ces informations en toute sécurité.

Le texte a été diffusé à une date mentionnée 2023-06-14 12:14:00.

Voici lle « papier » dont il s’agit :

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tribunal saint-nazaire
L’avocate de l’amant éconduit qui était poursuivi pour harcèlement, a obtenu la relaxe de la part du tribunal de Saint-Nazaire ©photo d’illustration Frédéric PROT

Un homme de 67 ans et une femme de 55 ans, mariés chacun de leur côté, se sont connus dans une salle de sports où ils avaient un coach commun, se découvrant des centres d’intérêt partagés.

« J’étais amoureux »

Pendant un an, ces deux habitants de La Baule ont entretenu une liaison à laquelle la quinquagénaire a souhaité mettre fin en novembre 2021.

S’ils se sont retrouvés à la barre du tribunal correctionnel de Saint-Nazaire le 6 juin 2023, c’est parce que Madame a porté plainte pour harcèlement.

Selon le sexagénaire, rien ne laissait présager une rupture :

« Le 8 novembre, elle m’envoyait un message me disant que j’étais l’homme de sa vie. »

Devant ses juges, l’homme a expliqué ses appels, les approches du domicile de son ex « pour avoir une explication ».

« C’est elle qui m’avait dragué. J’étais amoureux… On n’a pas pu parler, la rupture, je l’ai apprise par message », souligne le prévenu.

Leurs habitations n’étant pas très éloignées, il explique qu’ils pouvaient se croiser. Il admet toutefois avoir déclaré :

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« Tu as pourri ma vie, je vais pourrir la tienne. »

Lors du procès, il s’en explique : « Ma femme était au courant, je voulais que son mari, qui n’est pas là dans la semaine, le sache aussi. Je voulais en arriver à cette procédure ».

Ce qui a poussé la victime à porter plainte, c’est une altercation devant sa fille.

Les deux femmes le décrivent « menaçant, hors de contrôle », criant : « Pourquoi ta mère m’a quitté ? » Le coach confirme. 

« La victime a soufflé le chaud et le froid »

L’avocat parisien de la plaignante, Me Jean, s’est dit inquiet après les déclarations du prévenu à la barre : « Dix-huit mois après les faits, il essaie encore de se justifier ». 

Selon l’avocat, « cet homme estime qu’une histoire d’amour donne des droits ! »

Il ajoute qu’ayant refusé la rupture, le prévenu n’a eu de cesse d’envoyer des SMS à sa cliente, l’a menacée d’aller faire un scandale sur le lieu de travail parisien de son mari… Et Me Jean de dénoncer « la facilité avec laquelle, il renverse les choses ». 

De son côté, le procureur Héry ne tergiverse pas : « Dans une relation, on est deux, l’un a le droit de décider qu’elle se termine. Cet homme est intolérant à la frustration. Le 13 juillet 2022, il lui écrivait :  »on va aller au clash ! » » Toutefois, le magistrat nuance : « La victime a soufflé le chaud et le froid ».

La quinquagénaire reconnaît, en effet, que « par peur, elle lui répondait parfois, acceptait de le voir… » Marquée, cette femme a actuellement un suivi psychologique.

Le prévenu relaxé

Dans sa plaidoirie de défense, Me Julie Conta, met des bémols : « Ils sont allés ensemble à Paris voir l’avocat de Madame, car ils voulaient divorcer. Mais elle a fait machine arrière, alors que lui était prêt à tout quitter pour elle ». 

Elle précise qu’après la rupture, la dame voulait garder le contact : « Lors de l’instruction, elle a sélectionné les SMS qu’elle a envoyés alors que lui a tout produit ». Elle en cite plusieurs, tels que  :

« Mets le champagne au frais pour notre prochaine rencontre… » 

Me Conta souligne que le juge n’avait pas placé son client sous contrôle judiciaire. « La peur », elle ne la comprend pas : « Il n’a jamais été violent… »

Devant son client qui s’essuie les yeux, elle termine : « Il voulait des réponses à sa question, il peut en faire le deuil »… Elle obtient la relaxe plaidée. 

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